La requête des enfants

[TheBigLizardman]

« Piégé? Nous allons vite êtres fixés! »

Sur ces mots, je prends une de mes javelines, et la lance sur le sol poussiéreux intact de toute trace.

[ Je considère qu'il n'y a pas besoin de jets pour ça, mais n'hésite pas à m'en faire un. ]

[Antoine]

Désirant en avoir le cœur net, tu lances une de tes javelines sur le sol du couloir. En tombant au sol, tout le monde entend distinctement un son creux de bois qui craque.
T'avançant prudemment en balayant du pied le sol devant toi, pas après pas, ton pied bute sur un rebord. Te penchant pour mieux observer ce qui se trouve au sol, tu découvres qu'un battant de bois fabriqué à partir de planches aujourd'hui à moitié pourries, et recouvert d'une fine couche de terre, dissimule un trou béant d'environ un mètre cinquante de largeur. Soulevant la trappe, des morceaux du battant se désolidarisent et tombent dans le trou d'environ trois mètres de profondeur dans lequel tu vois des pieux, prêts à accueillir quiconque glisserait dans le piège.

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[ Vous pouvez aisément enjamber le trou (ou sauter par dessus) sans nécessiter de jet de Dextérité, par exemple. ]

[Antoine]

Alors que Jhörgan découvre un piège dissimulé au sol dans le couloir ouest, tu descends les marches que se poursuivent au nord.
Tu rejoins ainsi une pièce sombre que tes yeux t'autorisent à scruter.

Au milieu de la pièce carrée d'environ 6 mètres sur 6, se trouve un puits d'environ 1,20 mètres de large et de 70 centimètres de haut. Disposées autour de la pièce, cinq ouvertures peu profondes dissimulent des petites chambres, à ce que tu peux en voir. De ta position, tu aperçois une tête de lit ainsi qu'un coffre qui te fait presque face.

[TheBigLizardman]

J'enjambe le trou pour récupérer ma javeline de l'autre côté. Bien que comptant suivre Pwyll, j'en profite pour éclairer ce qu'il y a au bout du couloir de mon bouclier.

[ Je vais en i13 et éclaire l'embranchement. ]

[Antoine]

La mélopée se fait plus forte à mesure que tu avances. Tu enjambes le trou et rejoins une intersection situé au croisement de deux escaliers. Sur ta gauche, un escalier monte, de sorte que tu ne peux pas voir ce qu'il y a en haut. Devant toi, le couloir descend dans l'obscurité, des marches sont bâties en utilisant des planches pourries pour soutenir la terre.

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[tywaz]

Pwyll s'avance dans la pièce tout en restant à l’affût des possibles bruits venant du puits.

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[ 1d20+2
Édit MD, tiré sur DiceLog : 1d20+2 = 5+2 = 7 ]

Alors qu'il est en train d'observer la pièce, il en aperçoit une autre, plus petite mais présentant un lit et un coffre. une fois au centre de la pièce, il parvient à observer plusieurs autres alcôves qui pourrait elles aussi contenir des chambres.
Surement le dortoir.

Le guerrier s'approche de la chambre situé en face du couloir pour y inspecter le coffre.

[ Si le coffre est fermé. ]

Pwyll appelle le nain.
« Harbek! Il y a des coffres ici. Peux-tu venir les ouvrir? J'espère vraiment qu'ils ont des potions de soins. »

[Antoine]

Tu n'entends pas de bruits particuliers malgré les quelques secondes que tu passes immobile à côté du puits. Tu constates que ton intuition est juste en te déplaçant dans la grande pièce : les différentes alcôves sont autant de petites chambres, équipées simplement d'un lit et d'un petit coffre. Tu décides donc de t'approcher du premier que tu avais aperçu et, malgré ta tentative, ne parvient pas à l'ouvrir. La serrure de métal rouillée semble encore suffisamment solide pour ne pas pouvoir être brisée uniquement par la simple force.

[Philechat]

Comme Pwyll n'a pas déclenché de piège en allant plus loin, je lui emboîte le pas, venant dès que le guerrier m'interpelle. Comme la maison au complet est maléfique, je préfère regarder comme il le faut avant d'ouvrir le coffre. « Ces coffres ne demandent qu'à être ouvert. Ça sera pas long! »
[ Perception (tiré sur dnd dice roller): 1d20 = 12 = 12 ]
Si le coffre est sans danger, je commence à travailler la serrure comme seul un expert tel que moi pourrait le faire:
[ Outils de voleurs (aussi tiré sur dnd dice roller): 1d20+2 = 12+2 = 14 Si le coffre est piégé, utiliser ce jet pour désarmer le piège à la place ]
Je regarde si quelque chose de valeur pourrait être dedans. Puis je me rappelle que mes poches sont pleines de cuillers d'argent. ça ne m'arrête pas pour autant, mais pour éviter des problèmes avec les autres, je laisse les objets de valeurs pour qu'on puisse partager une quantité et ainsi que personne ne vienne me dire que j'ai pris une part exagérée ou que j'ai volé quoi que ce soit. Il n'y a que Tralar qui m'a vu voler les cuillers, mais il n'en a rien dit. Avec un peu de chance il a déjà oublié, et j'aurai pas besoin de leur révéler ma vrai nature... Elder est trop idiot pour essayer de le découvrir tout seul et les autres s'en fichent un peu.

[TheBigLizardman]

Je suis quelque peu étonné de ce que je vois: « Il y a des escaliers qui montent par ici... » Ils ne devraient pas déboucher dans la maison? C'est étrange.

Par curiosité naturelle, je ne peux m'empêcher de gravir les premières marches pour observer où elles peuvent bien mener.

[Bobmachtoke]

Pwyll et Jhörgan se séparent et Elder n'en crois pas ces yeux, surtout après les deux derniers jours de fou qu'ils venaient de vivre. Le meilleur moyen de mourir. De nombreux comptes et légendes peuvent en attester.... Au croisement ou ils se sont séparés Elder s'arrête pour laisser passer Harbek appeler par Pwyll. « Jhörgan vient, tous ensemble s'te plait. Pas ster seul dans c'coin d'malheur . Allez vient Pwyll touver un tuc. »

[Antoine]

Jhörgan s'éloigne du groupe à la grande crainte d'Elder qui l'interpelle. Le paladin gravit les marches, ses pas lourds faisant craquer les bûches moisies qui font office de marches. En haut, finalement sans surprise, il voit un couloir de prolonger sur quelques mètres, intersecté par un couloir transversal. Ayant tourné en rond, il imagine que sur la gauche, le couloir devrait rejoindre la salle jonchée d'ossements.

Pwyll et Harbek s'activent autour d'un des coffres. L'un d'eux observe l'autre faire jouer sa petite tige de métal dans le verrou. clic Harbek interprète ce sont comme une réussite. Malheureusement, le verrou reste grippé et il n'est pas possible de débloquer le mécanisme. Le nain aura sans doute brisé un ressors du vieux mécanisme, le mettant définitivement hors de service.

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[Philechat]

« Et MERDE! Je l'ai brisé. Va falloir défoncer le coffre... J'ai encore quatre essais! »
[ Outils de voleurs (x3): 1d20+2=14+2=16 1d20+2=1+2=3 1d20+2=2+2=4 ]
« C'est pas mon jour de chance... J'étais meilleur que ça y a trois-cent-cinquante ans! »
Puis je réalise que je viens de leur donner un indice sur leur âge. Je grince des dents, m'acharnant sur les coffres.